Trois jours après la saisie des armes de fabrications russes, les populations de Marsassoum ne se sente plus en sécurité et n’ont pas hésité à le faire savoir. Ce qui a conduit à une augmentation drastique du contrôle d’identité qui est devenus plus rigoureux. «Nous avons très peur et nous sommes inquiets », déclare-t-on dans ce village de la région de Sedhiou (Casamance). «La situation est très critique d’autant plus que n’importe qui peut entrer ou sortir de Marsassoum », ajoute cet autre habitant dudit village qui demande au gouvernement de nous installer une brigade de gendarmerie pour mieux assurer notre sécurité.
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