Scandale d’exploitation pétrolière en Afrique : Le Sénégal cité parmi 44 pays touchés

Pétrole

En un peu plus de 48 heures depuis ICIJ et plus d’une douzaine de partenaires médias à travers l’Afrique ont lancé une vague de nouveaux rapports sur Panama Papers avec un accent sur le continent le plus pauvre du monde, de nouvelles enquêtes ont suscité un vif intérêt public et suscité l’intérêt des gouvernements.

Les enquêtes exposées comment les entreprises en mer ont été utilisés pour siphonner l’argent hors de l’Afrique, en particulier dans les industries pétrolières, gazières et minières. ICIJ trouvé les entreprises de l’industrie extractive dans 44 des 54 pays de l’Afrique en utilisant des structures financières offshore détaillées dans les documents de Panama, y compris 37 entreprises liées à des actions ou des enquêtes officielles devant les tribunaux.

Les groupes de défense ont dit la dernière série d’histoires Panama Papiers mis en évidence le secret offshore sérieux impact a sur l’Afrique.

Plus d’histoires seront publiées dans les prochains jours en Tanzanie, Maurice, le Ghana, le Zimbabwe et le Sénégal. Ensemble, cette série représente la plus grande collaboration journalistique ICIJ des médias africains à ce jour. De nombreux partenaires de ICIJ ont travaillé en collaboration éditoriale avec le Réseau africain des centres d’investigation des rapports (ANCIR).

« Cela donne une fenêtre sur le monde souterrain obscur des accords secrets et sociétés fictives qui prive les gens dans le continent le plus pauvre du monde de leur avenir», a commenté l’organisation non gouvernementale britannique Global Witness.

« Plutôt que d’être utilisé pour construire des hôpitaux et des écoles, ces énormes sommes sont détournés par des sociétés offshore, aidé par des avocats et d’autres professionnels, puis passé sur les produits de luxe et des biens aux États-Unis et au Royaume-Uni. »

Oxfam America a salué le travail de ICIJ et ses partenaires », et ont réitéré leur appel à un projet de loi bipartisan au Congrès américain qui apporterait plus de transparence aux régimes en mer exposés par l’enquête Panama Papers.

« L’élargissement de scandale de Panama Papers montre comment nous avons besoin de toute urgence au Congrès d’adopter ces réformes de bon sens», a déclaré Tatu Ilunga, le conseiller politique principal d’Oxfam America sur les industries extractives et fiscales.

« L’industrie extractive a été montré pour avoir une influence extrêmement corruptrice au cœur d’un grand nombre de ces scandales. … En conséquence, certains des pays les plus riches en ressources de l’Afrique sont aussi ses plus pauvres et les plus inégales.  »

En plus de ses propres histoires de ICIJ, les journalistes qui ont collaboré avec ICIJ ont publié au moins une douzaine de nouvelles enquêtes avec plus à venir:

Plus d’une douzaine d’enquêtes Panama documents ont été publiés par les partenaires de ICIJ à travers l’Afrique

En Egypte, le gouvernement a dit qu’il ne connaissait pas les activités en mer d’une société avec laquelle il a signé un contrat lucratif de pétrole dans le golfe de Suez;

Au Togo, les cadres de ciment utilisés sociétés offshore pour gérer une partie de leur vaste empire commercial Afrique de l’Ouest;

Ministère du Kenya d’Etat à la Défense a signé un contrat avec une société offshore qui, dans les dossiers secrets, explicitement son but était «évasion fiscale»;

Un cousin du roi du Maroc était liée à autant que 30 sociétés offshore, qui auraient été utilisées pour les paris du marché boursier destiné aux investisseurs étrangers, et non pas les Marocains;

Une mystérieuse société sans présence en ligne ou des bureaux physiques au Botswana a été accusé de fracking insoutenable dans le désert du Kalahari au Botswana;

Deux hommes d’affaires namibiens ayant des liens avec un accord sur les armes infâmes ont été identifiés comme clients de Mossack Fonseca;

En Afrique du Sud, une grande banque se trouvait dans une confusion en niant tout lien avec Mossack Fonseca encore d’enregistrement près de 25.000 résultats dans la base de données de Panama Papers;

Au Mali, une société de téléphonie mobile français ne serait pas expliquer pourquoi elle a versé des centaines de milliers de dollars pour une société fictive pour le premier réseau de téléphonie mobile du Mali, ou de divulguer qui l’argent était pour;

Au Burkina Faso, un pilote américain discret de l’ancien président du pays, qui a quitté le bureau en 2014 suite à des protestations de masse, utilisé une société offshore pour une transaction immobilière au Royaume-Uni;

De nouveaux détails ont émergé dans une transaction foncière controversée au Mozambique qui peut déplacer des milliers de personnes, mais dont très peu, y compris la véritable identité des dirigeants derrière les entreprises, est connue;

En Algérie, un exécutif puissant était un client précoce de Mossack Fonseca, qui aurait été en violation des lois algériennes interdisant les exploitations offshore;

Au Niger, l’homme derrière une grande entreprise de transport qui serait proche de décision parti politique du pays, a utilisé une société offshore à recevoir les revenus de ses autobus à travers le désert du Sahara.

Certains des partenaires de ICIJ en Afrique ont déjà rapporté que les agences gouvernementales ont été en contact pour exprimer la surprise au niveau de détail de l’activité offshore contenue dans les documents de Panama. D’autres journalistes ont dit qu’il ya des indications que les autorités peuvent ouvrir des enquêtes sur certaines des sociétés et des personnes nommées.

Au Niger, le pays enclavé d’Afrique centrale, les journaux portant l’enquête exclusive par Moussa Askar, directeur de L’Evenement, vendus complètement.

Le classement sur le continent de ICIJ des Secrets jeu (soutenu par le Pulitzer Center on Crisis Reporting) a également rempli rapidement, comme plus de 2600 joueurs d’environ 170 pays ont terminé le jeu. Le meilleur score est si loin 6640, fixé par un joueur qui s’appelle L’Ouest des États-Unis. Les 10 meilleurs joueurs à ce jour sont de l’États-Unis, la Nouvelle-Zélande, la Belgique, l’Autriche, la Norvège et l’Afrique du Sud.

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