bad – Dakar7.com https://www.dakar7.com L'Info 7j sur 7 Wed, 22 Nov 2017 09:13:43 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.4.1 https://www.dakar7.com/wp-content/uploads/2016/09/Dakar7_Logo_HAS-150x112.png bad – Dakar7.com https://www.dakar7.com 32 32 BAD du Sénégal : 101 opérations financées à coût de 1300 milliards de Francs Cfa https://www.dakar7.com/bad-du-senegal-101-operations-financees-a-cout-de-1300-milliards-de-francs-cfa/ Wed, 22 Nov 2017 09:13:43 +0000 https://www.dakar7.com/?p=96796 La Banque africaine de développement et le ministre de l’Economie et des Finances et du Plan ont procédé, hier, à la revue annuelle conjointe pour revisiter les opérations financières. Selon Vox Populi, Amadou Ba a annoncé que depuis 1972 à nos jours, la BAD a financé 101 projets au Sénégal pour un montant de 1300 […]]]>

La Banque africaine de développement et le ministre de l’Economie et des Finances et du Plan ont procédé, hier, à la revue annuelle conjointe pour revisiter les opérations financières. Selon Vox Populi, Amadou Ba a annoncé que depuis 1972 à nos jours, la BAD a financé 101 projets au Sénégal pour un montant de 1300 milliards de Franc Cfa. A la date d’aujourd’hui, le total des engagements s’élève à 669 milliards rappelle le ministre des Finances. Amadou Ba a soutenu que « les projets de la BAD au Sénégal sont en cohérence avec les cinq grandes priorités de la BAD ».

 

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Endettement inquiétant : La BAD au banc des accusés https://www.dakar7.com/endettement-inquietant-la-bad-au-banc-des-accuses/ Thu, 10 Aug 2017 09:42:50 +0000 https://www.dakar7.com/?p=80484 L’agence Fitch Ratings tire la sonnette d’alarme. Selon cette agence, le taux d’endettement de la Banque africaine de développement est devenu inquiétant. Dans L’As, l’agence donne les raisons. « La croissance rapide des prêts, au cours des deux dernières années, a entraîné une augmentation rapide de l’endettement de la BAD », a-t-elle expliqué. http://Dakar7.com]]>
L’agence Fitch Ratings tire la sonnette d’alarme. Selon cette agence, le taux d’endettement de la Banque africaine de développement est devenu inquiétant. Dans L’As, l’agence donne les raisons. « La croissance rapide des prêts, au cours des deux dernières années, a entraîné une augmentation rapide de l’endettement de la BAD », a-t-elle expliqué.

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Conférence des ministres des finances de l’UA : les défis du développement économique de l’Afrique au menu https://www.dakar7.com/conference-des-ministres-des-finances-de-lua-les-defis-du-developpement-economique-de-lafrique-au-menu/ Wed, 22 Mar 2017 20:32:54 +0000 http://www.dakar7.com/?p=55241 Le moins que l’on puisse reconnaître dans les rapports d’échanges et de commerce entre l’Afrique et ses partenaires extérieurs, c’est qu’aussi bien la balance commerciale que celle des paiements, restent encore déficitaires. En effet, cinquante (50) milliards de Dollars quittent annuellement le continent au moment où la contrepartie est loin d’être à la hauteur des […]]]>

Le moins que l’on puisse reconnaître dans les rapports d’échanges et de commerce entre l’Afrique et ses partenaires extérieurs, c’est qu’aussi bien la balance commerciale que celle des paiements, restent encore déficitaires. En effet, cinquante (50) milliards de Dollars quittent annuellement le continent au moment où la contrepartie est loin d’être à la hauteur des attentes. Pour renverser la tendance et trouver l’équilibre, Dr Kouassi, expert de l’Union Africaine a laissé croire qu’il faut « une transformation radicale des économies Africaines ». Il s’agit en fait de trouver des solutions aux problèmes d’insécurité qui se posent dans les secteurs de l’énergie, des finances, de l’alimentation et de l’économie. De l’avis de l’expert, c’est ce manque à gagner qui pousse d’ailleurs beaucoup de jeunes Africains à migrer vers les pays où il y’a la transformation, et c’est ce qui met le continent face à cette tragédie migratoire, devenue une problématique pratiquement pour tous les gouvernants. Il s’y ajoute que l’Afrique est encore sous industrialisée alors que 15% seulement représentent le taux du commerce intra Africain. Sous ce rapport, les experts de l’Union Africaine ont relevé « la morosité économique qui a affecté les états durant ces 3 dernières années à cause d’un faible pourcentage noté sur l’exportation des ressources ».  Au chapitre de l’intégration, la question de la monnaie unique sera également débattue lors de cette conférence des ministres de l’économie et des finances. Un projet qui a déjà recueilli l’adhésion de la plupart des chefs d’Etat Africains, et dont la mise en œuvre s’étale d’ici 2020. Tout compte fait, on note que l’Afrique a décidé de prendre son destin économique en mains avec le concours de grandes institutions financières comme la Banque Africaine de Développement (BAD) ; la Banque Africaine d’Investissement (BAI) et le Fonds Monétaire Africain (FMA). De fortes recommandations sont aussi attendues à l’issue de cette conférence des ministres qui se tiendra du 23 au 28 Mars courant, pour faciliter les prises de décisions des gouvernants de l’Union Africaine.

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Inclusion financière dans l’UEMOA : la BAD offre 3,9 milliards à 70 institutions de micro-finance https://www.dakar7.com/inclusion-financiere-dans-luemoa-la-bad-offre-39-milliards-a-70-institutions-de-micro-finance/ Fri, 24 Feb 2017 11:55:09 +0000 http://www.dakar7.com/?p=50968 La Banque Africaine de Développement (BAD) veut faire la promotion de l’accès aux systèmes financiers décentralisés dans la zone de l’UEMOA. Elle a lancé un projet dans ce sens, financé par le Fonds Africain de développement (FAD) à hauteur de 3,9 milliards F Cfa. Selon le journal l’Enquête, ce projet va couvrir l’ensemble des huit […]]]>

La Banque Africaine de Développement (BAD) veut faire la promotion de l’accès aux systèmes financiers décentralisés dans la zone de l’UEMOA. Elle a lancé un projet dans ce sens, financé par le Fonds Africain de développement (FAD) à hauteur de 3,9 milliards F Cfa. Selon le journal l’Enquête, ce projet va couvrir l’ensemble des huit (8) pays de l’UEMOA et dans l’espace, 70 institutions vont se partager cette manne.

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Malaise à la BAD: Ismaïla Dieng démissionne de la Direction de la Communication https://www.dakar7.com/malaise-a-la-bad-ismaila-dieng-demissionne-de-la-direction-de-la-communication/ Fri, 10 Feb 2017 12:00:05 +0000 http://www.dakar7.com/?p=48349 Le Sénégalais, Ismaïla Dieng n’est plus le Directeur de la communication de la Banque africaine de développement.(BAD). Selon le site Financial Afrik visité par le journal Enquête, notre compatriote a présenté sa lettre démission à la présidence de la BAD. La raison? M. Dieng n’a pas pu supporter la « pression grandissante » qui s’exerçait sur lui. […]]]>

Le Sénégalais, Ismaïla Dieng n’est plus le Directeur de la communication de la Banque africaine de développement.(BAD). Selon le site Financial Afrik visité par le journal Enquête, notre compatriote a présenté sa lettre démission à la présidence de la BAD. La raison? M. Dieng n’a pas pu supporter la « pression grandissante » qui s’exerçait sur lui.

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42, 637 milliards de FCfa financés par la Bad pour l’usine Keur Momar Sarr 3 https://www.dakar7.com/42-637-milliards-de-fcfa-finances-par-la-bad-pour-lusine-keur-momar-sarr-3/ Wed, 14 Dec 2016 09:53:38 +0000 http://www.dakar7.com/?p=37849 La banque africaine de développement (Bad) clôt le financement du « projet de renforcement de l’alimentation en eau pour multi-usage sur l’axe Louga-Thiès-Dakar, à partir de la station de Keur Momar Sarr », avec le Sénégal pour 42, 637 milliards de FCfa. Selon le journal l’Obs, la mise en oeuvre du projet va impacter considérablement sur les […]]]>

La banque africaine de développement (Bad) clôt le financement du « projet de renforcement de l’alimentation en eau pour multi-usage sur l’axe Louga-Thiès-Dakar, à partir de la station de Keur Momar Sarr », avec le Sénégal pour 42, 637 milliards de FCfa. Selon le journal l’Obs, la mise en oeuvre du projet va impacter considérablement sur les agriculteurs, les maraîchers, les commerçantes de fruits et de légumes, entre autres, afin de garantir le développement de leurs activités, avec une croissance de leurs revenus.

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20 milliards de FCfa de la Bad et de la Bei pour l’agrobusiness https://www.dakar7.com/31949-2/ Sun, 30 Oct 2016 07:00:03 +0000 http://www.dakar7.com/?p=31949 La Banque africaine de développement (Bad) et la Banque européenne d’investissement (Bei) ont consenti, conjointement, un prêt d’un montant de 31,4 millions d’euros soit un peu plus de 20 milliards de Fcfa à la Compagnie agricole de Saint-Louis (Casl) pour la réalisation de son projet rizicole dans la zone de Ross Béthio La Compagnie agricole […]]]>

La Banque africaine de développement (Bad) et la Banque européenne d’investissement (Bei) ont consenti, conjointement, un prêt d’un montant de 31,4 millions d’euros soit un peu plus de 20 milliards de Fcfa à la Compagnie agricole de Saint-Louis (Casl) pour la réalisation de son projet rizicole dans la zone de Ross Béthio

La Compagnie agricole de Saint-Louis, (Casl) spécialisée dans la riziculture, a bénéficié d’un prêt de 31,4 millions d’euros, soit près de 20 milliards de FCfa de la Banque africaine de développement (Bad) et de la Banque européenne d’investissement (Bei). Cet accord definancement a été signé, hier, en présence du Secrétaire général du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, Cheikh Tidiane Diop. La Bad et la Bei étaient représentées par leur Représentant-résident respectif Adalbert Nshimyumuremyi et Isabelle Van Grunderbeeck et la Casl par son administrateur général Laurent Nicolas.

Cette enveloppe financière participera à la réalisation du projet intégré de production de riz dans la vallée du fleuve Sénégal que la Casl déroule depuis 2012. Le projet est organisé autour d’une production en régie sur 4000 hectares, d’une rizerie considérée par son promoteur comme « la plus importante du Sénégal » qui est en construction. Cette rizerie aura une capacité annuelle de 65.000 tonnes de riz blanc « aux normes de qualité internationale de façon à tirer toute la filière rizicole vers un riz de meilleure qualité », a soutenu M. Nicolas. La Compagnie agricole de Saint-Louis cultive, sur un millier d’hectares, en cours de récolte. « Ce sera notre 6e récolte », a-t-il précisé. Selon les projections, ce projet créera 450 emplois directs, 150 emplois indirects et plus de 1000 emplois induits.

Au-delà de l’impact économique, le projet procurera des avantages socioéconomiques importants aux communautés environnantes puisqu’il va permettre à 500 paysans riverains d’avoir accès à un réseau hydraulique. « Nous sommes dans une zone où il n’y a jamais eu aucune culture parce que l’eau n’y arrivait pas.

Mais grâce à l’eau qu’on leur apporte, les riverains cultivent déjà 450 hectares », a déclaré M. Nicolas. Ainsi, l’ambition de la Compagnie agricole de Saint-Louis est de participer à l’effort national en vue de l’autosuffisance en riz et également d’accompagner les petits paysans à grandir. Son projet repose sur trois composantes : la production agricole avec l’aménagement des terres et équipements agricoles ; le développement de l’agriculture paysanne et l’agro-industrie.

540 hectares déjà exploités
Le Représentant-résident de la Bad, Adalbert Nshimyumuremyi a affirmé que ce projet est « déterminant pour le Sénégal » en ce sens qu’il promeut la sécurité alimentaire, en produisant du riz pour le marché local. « Conformément à sa stratégie concernant le secteur privé, la Bad a joué un rôle de catalyseur et de conseiller en étant impliqué dans le projet depuis 2012. Depuis la Conférence de haut niveau sur l’agriculture et l’agro-industrie de Dakar, en octobre 2015, ce projet est l’un des premiers engagements de la Bad via son secteur privé pour résoudre les défis de sécurité alimentaire et de substitution aux importations pour les produits de base comme le riz. C’est la première pierre posée pour notre stratégie agricole notamment dans son volet « Nourrir Afrique », a indiqué M. Nshimyumuremyi.

Isabelle Van Grunderbeeck, Représentante-Résidente de la Bei a soutenu que ce prêt s’inscrit dans la politique d’intervention de son institution et dans ses priorités en Afrique. Saluant le bel exemple de partenariat entre grands producteurs et populations locales, elle est d’avis que « ce projet contribuera à l’atteinte de l’autosuffisance en riz au Sénégal ».

Le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Lamine Lô, a abondé dans ce sens, estimant que ce projet conforte la dynamique constatée sur le terrain où à côté des aménagements sur fonds publics, s’installent de plus en plus des investisseurs privés constitués de petits producteurs individuels, de petites et moyennes entreprises mais aussi de grandes entreprises. « Ces entreprises qui s’engagent en faveur du développement de l’agriculture sénégalaise en prenant des risques constituent, pour nous, des modèles à suivre pour le secteur privé surtout national. Sans elles, sans leur implication, les objectifs d’autosuffisance ne seront jamais atteints », a-t-il dit.

Le Secrétaire général du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan n’a pas manqué de souligner l’importance de ce projet pour le développement économique et social du Sénégal. Selon Cheikh Tidiane Diop, la Compagnie agricole de Saint-Louis qui exploite 540 hectares sur les 2000 aménagés pour un coût d’investissement projeté de 28 milliards de FCfa, répartis entre la production, les aménagements et la construction d’une rizerie, n’est pas étrangère aux bonnes performances réalisées par l’agriculture sénégalaise en 2015 qui, faut-il le rappeler, a enregistré une hausse « record » de 57 % de sa production agricole, l’année dernière.

 

Auteur: lesoleil – SenewebNews-RP

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FINANCEMENT : La Bad va allouer 300 millions de dollars à des projets de jeunes africains https://www.dakar7.com/financement-la-bad-va-allouer-300-millions-de-dollars-a-des-projets-de-jeunes-africains/ Wed, 31 Aug 2016 13:38:37 +0000 http://www.dakar7.com/?p=25307 Pour accompagner le développement durable du continent, la Banque africaine de développement (Bad), en partenariat avec la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (Acbf) a initié  un programme d’appui sur la promotion de la culture du résultat et le soutien actif au secteur privé, principalement dans ses franges jeune et femme. A cet […]]]>

Pour accompagner le développement durable du continent, la Banque africaine de développement (Bad), en partenariat avec la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique (Acbf) a initié  un programme d’appui sur la promotion de la culture du résultat et le soutien actif au secteur privé, principalement dans ses franges jeune et femme.

A cet effet, une enveloppe de 300 millions de dollars  est mise à la disposition des Etats qui présenteront des projets de développement inclusif initiés par des privés nationaux.

Ces projets doivent s’inscrire dans les plans et programmes des Etats africains et viser des secteurs prioritaires tels l’agriculture,  l’agro-industrie, les énergies renouvelables, etc.
Selon Geraldine Mahoro, la chargée de projet de la Communauté africaine de pratiques sur la gestion axée sur les résultats de développement (AfCoP, en Anglais), qui animait un point presse en prélude à cette rencontre, « ce programme obéit à une feuille de route élaborée par les Etats eux-mêmes au profit de leur jeunesse»
Au Sénégal, par exemple, un projet initié par une femme, Maguette Wade, dans le domaine de la transformation de produits agricoles locaux bénéficie de cette initiative de l’institution financière africaine.
A travers ce financement, la Bad fait donc bénéficier aux membres de l’AfCop–Grd. Cette organisation vise l’autonomisation des jeunes pour la mise en œuvre de l’Agenda 2063 qui est une approche de l’Union africaine visant la transformation socio-économique positive du continent dans les 50 prochaines années.
C’est ainsi que du 31 août au 2 septembre 2016 se tient, à Dakar, une rencontre de formation et de réseautage entre jeunes de 21 nationalités du continent  autour de thématiques du développement.  Initié à l’intention des jeunes leaders africains, cet événement vise à informer, habiliter et dialoguer avec eux, en vue de renforcer leurs capacités et leur rôle d’agents du changement.
Cette initiative entre dans le cadre des nouvelles priorités de la Bad qui tente désormais mettre l’accent sur le financement du secteur privé pour des projets portés par des jeunes et des femmes.

 

 

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